Les photos, recueillies au retour d'une sortie d'entrée, invisibles, étrangères, faceless. Puis ça attache, assez vite. Aimante. C'est ça, ça, ça. ça s'ouvre, ça devient regardable. ça commence. Après l'expérience un peu nauséeuse, aventureuse, du flottant, de on ne sait pas. : qu'est-ce qu'il y a à voir ici? Qu'est-ce-que-je-fous-là. QQJFL. Entre l'hystérie d'y chercher quelque chose (my god il n'y a rien? je n'y suis pas? ça file de partout?), et le blanc du ici maintenant qui est rarement heureux. On photographie à l'aveugle, on essaie d'éviter les choses déjà vues. On essaie tous les courants, on les sent rares. On sent qu'on force, qu'il y a ce plan de concern, qu'il ne faudrait pas forcer. Puis c'est ce plan qui devient dépassé, qui s'évanouit et ses nervosités et il se passe quelque chose, qui se déroule, s'ouvre, lentement, après la photo. Quand elle va commencer.
Avec les impasses aussi, rapidement apparues ; les chemins vites bouchés.
ça commence : vers les blocs. Vers le peu que.
Mode éthique du : ce qui suffit, pour que. Ou à peine suffisant, au seuil même de quelque chose et de rien, poussière, fffwit.